Depuis que j'ai pris la bonne initiative de me remettre à la lecture il y a de cela un peu plus d'un an, je commençais à me demander si je n'étais pas "bon public"...
Chaque oeuvre que je commence, je la termine toujours au plus vite, captivée par l'histoire...
J'ai toujours adoré ce que je lisais, des Musso au Levy, plus récemment Ken Follet et Là dernièrement Douglas Kennedy... Certes tout cela n'est pas de la grande Littérature et n'appartient pas aux grands classiques enseignés à l'école ou en fac, mais qu'importe, ils remplissaient à merveille le rôle que j'attendais d'eux, à savoir, me détendre, me faire voyager et aussi un peu me faire rêver...
Peut-être étais-je donc devenu un petit rat de bibliothèque, qui lit tout ce qui lui tombe sous la dent et qui s'en satisfait !
C'est drôle c'est en écrivant , je me souviens de l'élégance du hérisson qui fut un peu plus difficile à lire... Mais jamais je n'avais jeté un bouquin à travers la pièce comme je viens de le faire une fois la dernière ligne lue !!!
Le livre qui a appris à voler ???
Ai déniché sur une brocante une dame qui bradait une série de trois Douglas Kennedy pour 4 euros, C'est encore un peu cher pour du pocket, mais bon, cela reste plus abordable que les emprunts à la bibliothèque !
Ai commencé par celui là...
En cherchant la couv' sur le net je suis tombée sur un avis de Lectrice d'une certaine Sophie Leboeuf qui est si juste que je vais le reprendre...
C'est l’intrigue au ventre que le lecteur tombe dans une diabolique spirale, dans les pas du personnage principal. Entre amour, sexe et vengeance, le héros perd pied et nous pousse dans sa chute. Folie ou vérité incroyable ? Que penser ?
Douglas Kennedy nous enferme dans un monde étrange où le fantastique et le réel se cherchent et se mêlent. Mais l’auteur ne se contente pas, au final, de dépeindre un théâtre parisien digne de Simenon, loin des lumières des faubourgs et des immeubles haussmanniens. Il pose des questions existentielles au travers de cette histoire mystérieuse. La vengeance soulage-t-elle de la douleur ? Jusqu’où pouvons-nous culpabiliser ? Sommes-nous prêts à tout pour protéger les êtres chers ? Un peu facile, un peu bancale, la fin confine le lecteur dans une ambiance de mal-être, sans apporter de point final… Mais la plume de Douglas Kennedy, reste une fois de plus, d’une facilité très agréable.
Douglas Kennedy nous enferme dans un monde étrange où le fantastique et le réel se cherchent et se mêlent. Mais l’auteur ne se contente pas, au final, de dépeindre un théâtre parisien digne de Simenon, loin des lumières des faubourgs et des immeubles haussmanniens. Il pose des questions existentielles au travers de cette histoire mystérieuse. La vengeance soulage-t-elle de la douleur ? Jusqu’où pouvons-nous culpabiliser ? Sommes-nous prêts à tout pour protéger les êtres chers ? Un peu facile, un peu bancale, la fin confine le lecteur dans une ambiance de mal-être, sans apporter de point final… Mais la plume de Douglas Kennedy, reste une fois de plus, d’une facilité très agréable.
Je m'attarde sur cette fin et pourtant, j'ai dévoré ce livre !!! Moins de trois jour vu le nombre de page écrites en tout petit avec la vie que je mène en ce moment, ce n'était pas loin d'être un de mes records... Plus de télé, plus de blog ou presque, et des heures nocturnes à lire encore et encore...
A me demander comment l'auteur allait pouvoir s'en sortir pour la fin !
Il y a des auteurs comme Musso qui me clouent le bec à chaque fois ! Chaque fois je me demande comment il va s'en tirer cette fois et c'est toujours grandiose mais alors là...
"Facile, bancale, confine le lecteur dans une ambiance de mal être sans apporter de point final" C'est tout à fait ça!!!
Je déteste les fins, faciles, encore plus les bancales, et par dessus tout quand on a l'impression que l'auteur à pris la tangente et que rien n'est terminé et là c'est tout en même temps...
Un dénouement sur une page et demi qui m'a fait balancer mon livre de rage !
Et pourtant qu'il était bien tout le reste !!!
J'ai lu d'autres critiques qui disaient que ce livre ne ressemblait en rien à tous les autres de Kennedy, donc, je vais persister en gardant en mémoire les 375 premières pages et en oubliant les deux dernières...
Mais je l'ai amère tout de même...
La phrase qui reste à l'esprit c'est...
"Tout ça pour ça ???"
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