samedi 31 octobre 2009
Incroyable!!!!
vendredi 30 octobre 2009
ET une poêlée de légumes UNE!!!
jeudi 29 octobre 2009
Méthode Buteyko

La technique a été élaborée en Russie au cours des années 1950 par le Dr Konstantin Pavlovich Buteyko (1923-2003). Ce médecin observa au cours de sa pratique que plusieurs asthmatiques avaient un rythme respiratoire dysfonctionnel. Au repos, ils respiraient plus rapidement et plus profondément que la moyenne des gens, et pendant une crise, ils cherchaient à inspirer encore davantage, ce qui semblait aggraver leur état plutôt que de l’améliorer. Le docteur Buteyko suggéra donc à certains de ses patients de réduire la fréquence et le volume de leur respiration. Leurs symptômes d’asthme et d’hyperventilation diminuèrent considérablement, de même que leur consommation de médicaments. Le médecin russe créa alors une méthode pour enseigner aux asthmatiques à respirer mieux et moins.
Un individu en bonne santé respire de trois à cinq litres d’air à la minute. Le rythme respiratoire d’un asthmatique est de l’ordre de cinq à dix litres par minute. Selon le docteur Buteyko, les asthmatiques respirent trop. Cette hyperventilation ne serait pas assez grave pour entraîner des étourdissements ou des pertes de conscience, mais entraînerait une expulsion exagérée de gaz carbonique (CO2), et conséquemment un déficit de CO2 dans les poumons, le sang et les organes.
Selon le docteur Buteyko, les crises d’asthme sont un mécanisme de défense visant à contrebalancer le manque de CO2 dans l’organisme. On sait qu’un tel manque provoque l’apparition de spasmes dans les muscles lisses des bronches, des intestins et du système circulatoire. De plus, une quantité minimale de CO2 est nécessaire pour que l’hémoglobine - qui transporte l’oxygène dans le sang et le transfère aux cellules - fasse son travail adéquatement.
Ainsi, s’il manque de CO2, les cellules se trouvent rapidement en pénurie d’oxygène. Elles envoient donc un signal au centre respiratoire du cerveau qui donne aussitôt la commande de respirer davantage. Le cercle vicieux s’installe donc : la personne souffrant d’asthme respire de plus en plus profondément et rapidement pour obtenir plus d’oxygène, mais perd de plus en plus de gaz carbonique, inhibant l’assimilation de l’oxygène, ce qui la porte à respirer plus profondément... D’où la conclusion du docteur Buteyko que l’asthme serait la conséquence d’un déficit de CO2 provoqué par une hyperventilation chronique
12 juillet 2005 – Selon les résultats d’une récente synthèse d’essais cliniques, la méthode Buteyko réduirait de façon significative l’usage des bronchodilatateurs chez les asthmatiques, bien que les causes de cet effet demeurent un mystère pour les scientifiques.
L’analyse des résultats de six essais cliniques menés auprès de 898 sujets indique que les asthmatiques qui pratiquent cette méthode arrivent à diminuer de façon marquée le dosage et la fréquence de leur médication. Les résultats sont toutefois moins clairs quant aux effets de la technique sur les symptômes et les indicateurs cliniques de la maladie.
Il semble que les exercices respiratoires mis au point en Russie au cours des années 1950, par Dr Konstantin Pavlovich Buteyko (1923-2003), aient un effet similaire à celui des médicaments bronchodilatateurs habituellement prescrits aux asthmatiques : ils permettent de diminuer la fréquence et la gravité des crises, sans toutefois guérir la maladie.
Les auteurs de la synthèse font remarquer que, même si la méthode semble donner de bons résultats, la théorie explicative proposée par Buteyko est loin de faire l’unanimité au sein de la communauté scientifique. En effet, les données actuelles ne permettent pas de confirmer que l’asthme est associé à une diminution des taux de CO2. La médecine moderne considère plutôt que l’asthme est une maladie inflammatoire.
Les chercheurs hésitent, par conséquent, à recommander aux asthmatiques de pratiquer cette méthode en faisant remarquer que les lignes directrices de la médecine classique préconisent plutôt l’usage d’anti-inflammatoires (les bronchodilatateurs de synthèse) pour maîtriser l’asthme. (Et bien sûr, Mr ventoline et Mr clarityne préfèrent qu'on investisse dans leurs entreprises à vie, plutôt que l'on se soigne sans médicaments!)
FOFIE A TESTE POUR VOUS :
Voici plusieurs semaines que je pratique cette méthode avec d'excellents résultats... Et je ne la teste pas sur l'asthme à proprement parlé, mais sur mes affections respiratoires... Vous vous souvenez? Mes crises d'allergie subites en pleine nuit, ou dehors, alors que je ne dors pas sur un chat ou qu'il vient de pleuvoir...
Ces crises étaient de plus en plus fréquentes me poussant à reprendre les anti-histaminique quotidiennement sous peine d'avoir le fond des oreilles qui grattent à m'en crever les tympans, le nez qui coule comme de l'eau pendant des jours, se terminant inévitablement par une inflammations ORL générale , avec une sinusite de tous les diables...
Je reculais chaque fois la prise du clarityne au plus tard possible afin de limiter les quantités absorbées...
Et c'est à ce moment là que j'ai choisi de tester la méthode... Au moment précis où je me disais "Là, t'es au pus mal, t'as plus le choix, prends un comprimé , dans une demi-heure ça ira mieux"
Me voilà donc, assise dans mon canapé, en marchant dans la rue ou couchée dans mon lit à 2 heures du matin, en train de faire mes exercices respiratoires...
Combien de temps? Montre en main 7 minutes pour les premiers signes d'amélioration.... 15 minutes pour une reprise d'activité ordinaire et la disparition totale des symptômes !!!
Efficace à 100% ? Sur la prise d'anti-histaminique OUI !!!! 100% de cachetons avalés en moins!!!! Dès le premier jour!!!!!
Je confirme donc mes doutes : Je ne suis ni allergique, ni asthmatique !!! Je souffre bien de troubles respiratoires... Je pense comme les médecins que l'origine doit être inflammatoire... Mais à leur différence, je certifie pouvoir me soigner sans médicaments...
C'est pour moi une révolution ! Ces 3 dernières semaines, je n'ai plus pris un seul médicaments, alors que j'en prenais chaque jour auparavant... Dès que je sens les symptômes revenir je recommence les exercices de respiration... J'ai même pris le coup d'en faire systématiquement au coucher pour la nuit... Et vous savez quoi? Mon sommeil n'en est que meilleur, cela me permet de me détendre profondément avant l'endormissement, et je ne fais plus de cauchemars... C'est pas fabuleux ça?
POUR CEUX QUI PENSENT QUE CELA NE COÛTE RIEN D'ESSAYER :
Voici un exercice type proposé par la méthode Buteyko
1. Prise du pouls initial. S'asseoir confortablement, le dos droit, dans un endroit calme. Prendre son pouls pendant 15 secondes, multiplier le résultat par 4 et le noter. Cela sert simplement à « monitorer » les effets de la pratique des exercices de respiration.
2. Pause de contrôle. Inspirer tranquillement (par le nez et non par la bouche) pendant deux secondes, puis expirer pendant trois secondes. Retenir ensuite sa respiration, en se pinçant le nez et en comptant les secondes. Lorsqu'on a l'impression de manquer d'air (il ne faut pas attendre de suffoquer!), noter la durée de la pause de contrôle. Cet exercice donne une évaluation de l'état d'hyperventilation. Selon le Dr Buteyko, un individu ayant une respiration normale devrait pouvoir tenir une telle pause pendant plus de 40 secondes.
3. Respiration très superficielle. Se tenir le dos droit, ralentir sa respiration en relâchant les muscles du thorax et en contrôlant son souffle par l'abdomen. Respirer ainsi durant cinq minutes en étant attentif à maintenir une respiration très fluide. Au bout de quelques séances, cette façon de respirer peut s'intégrer à la vie quotidienne : au travail, au volant de la voiture, en lisant, etc.
4. Pause de contrôle. Refaire une pause de contrôle et noter sa durée. Elle devrait être plus longue que celle observée à l'étape 2. Au bout de quelques séances, elle devrait encore s'allonger.
5. Prise du pouls final. Prendre son pouls et le noter. Il devrait être plus bas que celui observé à l'étape 1. Au bout de quelques séances, il devrait aussi être plus lent dès l'étape initiale.
6. Observation de la condition physique. Observer sa condition physique, en se demandant si on ressent une chaleur dans le corps, si on se sent plus calme, etc. L'effet de la respiration superficielle doit être calmant. Si ce n'est pas le cas, l'exercice est probablement fait de manière trop poussée.
mercredi 28 octobre 2009
La plus belle magie d'internet...

(MSN à bien une version mac, mais il y a un bugg entre PC et MAc pour les vidéos, donc cela ne nous servait quasiment à rien...) Et ichat ne fonctionne qu'entre macs et encore... C'est infernal à configurer et à mettre en route, surtout quand on a une neuf box, si bien que même avec nos proches sous macs nous ne nous connections jamais... (Avons passé des après-midi entières à essayer en vain...)
Skype? J'en avais déjà entend parler pour le téléphone gratuit... Ma famille Italienne me téléphone souvent via skype car chez eux, les forfait illimités à l'international n'existent pas encore. Mais je ne savais pas que l'on pouvait se connecter en direct live... Totalement gratuitement...
En plus , l'installation fut téléchargée et installée en moins de 5 minutes montre en main... Pas besoin d'aller créer un compte avec une énième adresse mail, un compte à activer etc....... Juste un identifiant à entrer dès la première connexion et à retenir...
Je vous dit : tout crée en moins de 5 minutes !!!
Nous avons refilé le tuyau au frère de Christophe qui vit en haute savoie et avons quasiment passé notre dimanche après midi en leur compagnie... Avec une bonne webcam l'image est superbe, en grand écran, on à l'impression qu'ils sont dans le salon avec nous...
Puis il y a ma petite mamie... Expatriée en Italie également, que je ne voyais plus qu'un mois par an... Ma marraine, mon tonton... Maintenant c'est toutes les semaines et même tous les jours si elles le veulent que les filles peuvent voir leur arrière grand-mère en direct live, oubliant carrément que 1500 kilomètres nous séparent !!!
C'est pas magique ça ???
J'imagine que beaucoup connaissent skype, ou profitaient déjà de MSN pour cela, mais si je pouvais via ce blog apporter , ne serait-ce qu'à un lecteur, la possibilité de relier son mac aux PC de ses "proches trop éloignés", si seulement un seul d'entre-vous pouvait ressentir notre joie à chaque connexion... Alors cet article n'aura pas servi à rien !!!
Liste de mots-clefs pour être retrouvés sur les moteurs de recherches : connexion web-cam mac/pc - webcam pc/mac - ichat pc/mac -
mardi 27 octobre 2009
Le guide familial de l'homéopathie

lundi 26 octobre 2009
Le lait d'ici...


dimanche 25 octobre 2009
samedi 24 octobre 2009
Besoin d 'air pur!!!!
vendredi 23 octobre 2009
Diffuseur d'huiles essentielles
mercredi 21 octobre 2009
Dans 6 mois jour pour jour...

lundi 19 octobre 2009
La fille sur le pont.





dimanche 18 octobre 2009
Selon une étude Britannique...
samedi 17 octobre 2009
carambole-creations

vendredi 16 octobre 2009
Réveil blanc... Matin noir !

jeudi 15 octobre 2009
Debriefing pour les accros des experts ou de Desperate...


mercredi 14 octobre 2009
Le poids d'un ami fidèle.... Le plus fidèle paraîtrait-il !!!
mardi 13 octobre 2009
Ce soir à la télé...

En pleine prise de conscience des menaces de réchauffement climatique, les industriels et certains politiques nous présentent l’énergie nucléaire comme la solution d’avenir, une énergie propre, maîtrisée, sans impact sur l’environnement et la santé. Parfois même, une énergie qui s’inscrit dans le « développement durable ».
Mais l’énergie nucléaire est-elle aussi propre qu’on nous le dit ?
http://www.arte.tv/fr/Comprendre-le-monde/Dechets--le-cauchemar-du-nucleaire/2766888.html
lundi 12 octobre 2009
Désespoir de Christophe... et des singes!!!

Le désespoir des singes (araucarias de son nom savant), c'est cet arbre immense que l'on trouve assez rarement par chez nous (en tout cas jamais à l'état sauvage, peut-être parce qu'il n'y a pas de singes en liberté par ici!), et que j'ai toujours trouvé superbe...

dimanche 11 octobre 2009
Attention je cite Dostoïevski !!!!
samedi 10 octobre 2009
Que serais-je sans toi?

vendredi 9 octobre 2009
Un musicien dans l'âme...
jeudi 8 octobre 2009
Infidèle... Et sans regrets !!!

mercredi 7 octobre 2009
Bidoche
Je suis journaliste à Paris, j'ai écrit une dizaine de livres (dont Pesticides, révélations sur un scandale français), je suis écologiste. Je publie le 30 septembre un livre appelé Bidoche, avec comme sous-titre : L’industrie de la viande menace le monde. Il s’agit d’une première en langue française, qui permet de relier entre eux quantité de fils dispersés. J’ajoute que j’ai le plaisir d’être édité par Henri Trubert, qui vient de quitter Fayard pour créer sa propre maison d’édition, LLL (les liens qui libèrent). À l'heure de cette crise multiforme que nous connaissons tous, je pense que cette petite aventure a un sens. Vous le savez comme moi, sans le soutien décidé des lecteurs-citoyens, une telle entreprise, qui vise à réunir l'esprit et le courage, a peu de chances de s'imposer.
Peut-être votre association voudra-t-elle m'aider à diffuser cette information.Je vous prie de trouver ci-dessous l’introduction de mon livre, qui donne une idée de son ton. Évidemment, vous pouvez faire circuler. J'ajoute que je crée un rendez-vous sur le Net, qui sera ouvert le 29 septembre : http://bidoche.wordpress.com. Avec, dans tous les cas, mes salutations.
Fabrice Nicolino, http://fabrice-nicolino.com

Pourquoi j’ai voulu ce livre ???
Je suis né pour ma part dans le sous-prolétariat urbain de la banlieue parisienne. Ce n’est pas un lieu rieur. Ce ne fut pas un temps calme. Il m’arriva plus d’une fois de rêver meilleur destin. Mais qui choisit ? Il reste que, dans les meilleures années de cette époque engloutie à jamais, ma mère préparait le dimanche midi un roast-beef, un rosbif farci à l’ail qui déclenchait chez nous tous, les enfants de cette pauvre nichée, une émeute de papilles.
Un repas peut-il rendre heureux ? Oui. Un morceau de viande peut-il faire croire, le temps d’une tablée familiale, que tout va bien, que tout va mieux ? Oui. J’ai mangé beaucoup de viande. J’ai pris un grand plaisir à mastiquer, à partager avec les miens ce qui était davantage qu’un mets. Je suis mieux placé que d’autres pour comprendre que manger de la viande est un acte social majeur. Un comportement. Une manière de se situer par rapport au passé maudit de l’humanité, et de défier le sort promis par l’avenir.
Je crois savoir ce que manger veut dire. Mais je dois ajouter que, chemin faisant, j’ai changé d’avis et de goût. Modifier ses habitudes est l’une des vraies grandes libertés qui nous sont laissées. Je l’ai fait. Derrière la viande, peu à peu, les morceaux, hauts et bas, se sont reformés, comme dans les dessins animés de mon enfance, qui ignorent tout de la logique triviale de la vie ordinaire.
Derrière une côte de bœuf, j’ai fini par voir un bœuf. Derrière un gigot, un agneau. Derrière un jambon, un cochon. On peut parler d’un choc, immense et lent. L’histoire que je vais vous raconter n’est pas simple, et j’en suis le premier désolé. Elle peut d’autant plus paraître compliquée qu’elle l’est en réalité. Mais ce n’était pas une raison pour faire un livre pesant. Celui-ci ne devrait pas l’être. On y verra beaucoup d’hommes en action, prenant en notre nom des décisions plus ou moins réfléchies. Avec des conséquences majeures que la plupart ignorent.
Cela explique les tours, détours, ruses et contorsions d’une affaire profonde, qui nous concerne tous. Ce livre sur la viande commande du temps, et de la réflexion. Peut-être est-ce une mauvaise idée de le signaler d’entrée, à l’heure d’Internet et du zapping tous azimuts. Mais c’est ainsi. Au moins ne serez-vous pas trompé sur la marchandise. Il reste que cet ouvrage peut aussi se lire pour ce qu’il est : une formidable aventure aux conséquences inouïes. Où rien n’était inévitable. Où tout aurait dû être pesé. Ou tout aurait pu être contrebalancé. Une histoire pleine de bruit et de fureur, emplie jusqu’à déborder de qualités qui sont souvent de pénibles défauts. Laissez-vous porter par cette vague venue des temps les plus anciens, et posez-vous les bonnes questions, qui vous rendront fiers d’être des humains dignes du mot.
Comment des animaux aussi sacrés que le taureau Hap de la plus haute Antiquité sont-ils devenus des morceaux, des choses, des marchandises ? Pourquoi des techniciens inventent-ils chaque jour, en notre nom, de nouvelles méthodes pour « fabriquer » de la « matière » à partir d’êtres vivants et sensibles ? Pourquoi leurs laboratoires sont-il aussi anonymes que secrets ? Pourquoi l’industrie de la bidoche est-elle dotée d’une puissance qui cloue le bec de ses rares critiques ? À la suite de quelle rupture mentale a-t-on accepté la barbarie de l’élevage industriel ? Pour quelle raison folle laisse-t-on la consommation effrénée de ce produit plein d’antibiotiques et d’hormones menacer la santé humaine, détruire les forêts tropicales, aggraver dans des proportions étonnantes la si grave crise climatique en cours ?
Qui est responsable ? Et y a-t-il des coupables ? La réponse n’a rien d’évident, mais elle existe, dans les deux cas. Ce livre vous convie à une plongée dont vous ne sortirez pas indemne. À la condition de le lire pour de vrai, vous ferez ensuite partie d’une tribu en expansion, mais qui demeure on ne peut plus minoritaire. La tribu de ceux qui savent. Et peut-être même rejoindrez-vous celle qui ne veut plus. A-t-on le droit de se révolter ? On en a en tout cas le devoir.
Je mange encore de la viande. De moins en moins, et désormais si peu que j’entrevois le moment où je cesserai peut-être de le faire. Je ne suis pas un exemple. Je suis exactement comme vous. J’espère en tout cas que nous nous ressemblons assez pour que le dialogue commence. Mais avant cela, il fallait vous faire découvrir le tumulte des relations que nous entretenons avec notre sainte bidoche. Si ce livre devait servir à quelque chose, il me plairait qu’il permette à ses lecteurs de se demander ce qu’ils mangent. Et pourquoi. Et comment.