mercredi 6 avril 2011

Mesures de radioactivité du mercredi 6 mars 2011

Viens de trouver sur le site de la criiradd quelques nouveaux communiqués dans leur dossier spécial japon dont un sur les quantités d'iode que l'on peut ingérer ou inhaler en fonction de nos âges.
Vous y trouverez également une carte de France avec des relevés d'iode 131 dans l'air en fonction des régions.
Et enfin il y a un super communiqué dont voici l'essentiel ( Bon euh... Je me suis un peu lâchée sur le "résumé" mais tout me semblait tellement important que je n'ai pas zappé grand chose ! lol

Attention, voilà de la lecture !!!


"La CRIIRAD dispose d’un équipement qui permet de mesurer en continu le débit de dose gamma (en
microSievert par heure : µSv/h). Il a été acheté en 2009 grâce au soutien de la Région Rhône-Alpes. Il a
permis de vérifier que l’augmentation de l’activité de l’air ne se traduisait par aucune augmentation
mesurable du rayonnement gamma ambiant.
On ne constate aucune augmentation mesurable
depuis l’arrivée des masses d’air contaminé sur la France (autour des 23 / 24 mars).


A ce propos, la CRIIRAD a reçu des dizaines de courriels de personnes disposant de radiamètres ou de 
dosimètres et signalant une augmentation du niveau de rayonnement ambiant et/ou mettant en cause les 
résultats des blaises de l’IRSN.  Faute de temps pour analyser chaque dossier, nous proposons pour l’instant quelques indications générales (note d’information à l’attention des utilisateurs de radiamètres).  

• « Le risque associé à l’inhalation des aérosols et halogènes radioactifs présents dans l’air 
devrait être très faible ».  Les estimations  de dose indiquent que la mise en œuvre de contremesures, confinement à domicile ou prise de comprimés d’iode stable  n’est pas justifiée. Cette 
prévision est désormais confirmée sur la base des résultats d’analyse, et non plus d’hypothèses.  
Afin de déterminer le niveau de contamination de l’air, les analyses ont d’abord porté sur les filtres à 
aérosols et les cartouches qui équipent les balises de surveillance de la radioactivité de l’air. Elles ont 
révélé la présence d’iode 131
Ainsi que nous l’indiquions dans notre communiqué du 26 mars, l’iode 131 est principalement présent dans l’air  sous forme gazeuse. Les analyses effectuées sur les filtres et cartouches des balises d’Avignon, 
Montélimar, Valence, Romans-sur-Isère et Péage-de-Roussillon montrent qu’il représente de  70 à 89% de l’iode 131 présent dans l’air. La publication de résultats partiels, qu’ils portent sur les filtres qui retiennent les aérosols ou sur les cartouches à charbon actif qui piègent les gaz, conduit à sous-évaluer le niveau réel de la contamination : la sous-évaluation est limitée lorsque le résultat concerne l’iode gazeux mais elle peut atteindre un ordre de grandeur lorsque l’analyse porte sur le filtre à poussières. 
Sur la base des analyses de son laboratoire et du recensement des données publiées par l’IRSN, la 
CRIIRAD considère que l’activité de l’iode 131 dans l’air a pu atteindre, et dépasser 10 mBq/m3





Sur la base des résultats d’analyse  disponibles, la CRIIRAD a conduit des calculs de dose afin de vérifier si les niveaux de risque pouvaient être considérés comme négligeables ou s’ils justifiaient la mise en œuvre de mesure de protection.  
A ainsi été évaluée la dose que recevrait une personne respirant un air dont l’activité en iode 131 s’élèverait à 20 mBq/m3 (valeur enveloppe mais pas irréaliste) en supposant une exposition permanence sur 40 jours, soit du 22 mars au 30 avril (une hypothèse pour l’instant majorante).  


Selon les âges, l’activité incorporée en respirant varie entre 4 Bq (enfant en bas âge) et 23 Bq (adultes). Ce qui correspond à des  doses de rayonnement inférieures à 0,4 µSv, soit quelques pourcents du seuil de 10 µSv/an à partir de laquelle la réglementation européenne considère que les niveaux de risque ne sont plus négligeables et qu’il convient d’examiner les  moyens de diminuer les expositions. Ces valeurs 
représentent une fraction encore plus faible de la limite de dose de 1 mSv/an (<0,04%). 



• Rentrer chez soi pour se protéger de ces très faibles niveaux de contamination n’est ni justifié ni utile. Dès lors qu’une contamination atmosphérique se prolonge sur plusieurs jours,  a fortiori sur plusieurs 
semaines, le confinement n'est pas une réponse appropriée : soit il est inefficace – cas le plus général – 
l’air des habitations étant entièrement renouvelé en quelques heures (de moins d’une heure à 8 ou 10 h
maximum selon l’étanchéité de la construction) ; soit il est efficace, et cela pose problème car le volume 
d’air d’un logement doit être renouvelé complètement au minimum toutes les 3 heures. Les apports d’air
frais permettent en effet d’évacuer les différents polluants (odeurs, humidité, fumée de tabac, vapeurs de 
produits de nettoyage, solvants, formaldéhydes, ...) et en particulier les oxydes d’azote (CO2, CO, NOx) qui s’accumulent avec le fonctionnement d’appareils au gaz ou d’une cheminée. Soulignons également que le confinement va également augmenter la concentration en radon, un gaz radioactif naturel, dont l’effet cancérigène est attesté.  
En conclusion, il n’est pas utile, il est même déconseillé, de se confiner chez soi. Le risque radiologique est négligeable, bien inférieur aux problèmes posés par l’accumulation d’air vicié (et donc de polluants,  y compris de radon, un gaz radioactifs naturel)



• « le risque lié à l’ingestion d’eau ou d’aliments contaminés par les retombées radioactives devrait 
rester limité. Le laboratoire de la CRIIRAD évaluera le plus rapidement possible les quantités de radioactivité déposées au sol (dépôts sec et dépôts liés aux précipitations) afin de vérifier les ordres de grandeurs attendus dans les aliments et de donner, si nécessaire, des conseils adaptés ».  


La CRIIRAD a recensé les résultats d’analyse publiés par l’IRSN dans ses différents bulletins
: une vingtaine de résultats sont disponibles. Les activités sont comprises entre 0,246 Bq/l (pluie recueillie à Orsay le 27 mars) et 3,1 Bq/l pour de la pluie prélevée au CENBG, au sud de Bordeaux, à Gradignan, le 30 mars.
L’ensemble des résultats (CRIIRAD, IRSN et autres laboratoires) a été reporté sur une carte de France.
Précisons tout d’abord que ces très faibles activités n’induisent aucun risque pour les personnes qui se sont trouvées sous la pluie sans protection. Si vos enfants ont joué sous la pluie, dans des flaques d’eau, s’ils ont eu la peau ou les cheveux mouillés, etc. il n’y a aucun motif de vous inquiéter.


La question se pose différemment pour la CONSOMMATION de l’eau de pluie.
De nombreuses personnes nous ont demandé si elles pouvaient continuer à consommer l’eau de leur
citerne (eau collectée sur le toit de leur habitation). Compte tenu des niveaux de contamination mesurés
jusqu’à présent, la consommation ponctuelle de quelques verres d’eau ne pose pas problème. En revanche, si l’eau recueillie doit servir de source principale d’alimentation sur 15 jours ou 3 semaines, la dose reçue pourrait atteindre, voire dépasser le seuil à partir duquel le risque n’est plus considéré comme négligeable, en particulier si les consommateurs sont de jeunes enfants. Il s’agit de niveaux de risque très faibles mais qu’il vaut mieux éviter.



Si vous ne pouvez pas éviter d’utiliser l’eau récoltée sur votre toit pour l’arrosage de votre jardin potager, 
veillez à arroser la terre et non pas les feuilles des légumes : l’absorption est importante et rapide au niveau des surfaces foliaires ; plus lente et beaucoup moins efficace à partir du système racinaire des plantes. 
Un nombre important de demandes concernent l’eau de distribution. Lorsque les foyers sont alimentés 
par de l’eau provenant de nappes souterraines, la contamination actuelle est sans conséquence. Les activités déposées sont faibles, les capacités de dilution des aquifères souterrains importantes et l’iode 
radioactif se sera probablement désintégré avant de pouvoir les atteindre, même s’il s’agit de nappes peu 
profondes. 
Même conclusion pour l’alimentation en eau potable qui provient du traitement de cours d’eau. 
Pour que l’incidence soit notable, il faudrait imaginer des pluies abondantes et surtout continues, 
susceptibles de représenter dans la durée un pourcentage important du débit du cours d’eau. C’est assez 
improbable et cela ne correspond pas du tout aux conditions météorologiques actuelles. En revanche, il
semble nécessaire d’examiner de plus près la situation des plans d’eau type lacs collinaires qui recueillent 
l’eau de pluie d’un ou plusieurs bassins versant. Ils sont évidemment plus exposés que l’eau circulante. Des analyses devraient permettre de lever rapidement le doute.  





• Les  aliments sont-ils contaminés ? Si oui lesquels ? Doit-on éviter de les consommer ? Est-ce dangereux pour les enfants ? Pour une femme enceinte ? Pour une maman qui allaite son enfant ? 
Il y a deux catégories d’aliments à risque : ceux qui sont contaminés par dépôt direct et ceux qui sont 
contaminés par transfert (lait et viande)
• L’importance de la contamination dépend, bien sûr de l’activité déposée (par voies sèche et humide) 
mais aussi du stade végétatif de la plante et des surfaces de captation disponibles : les végétaux à larges 
feuilles type salades, blettes, épinards, choux, oseille… font partie des aliments les plus exposés (sauf
s’ils sont cultivés sous serre évidemment). Compte  tenu du niveau de contamination de l’air, des 
coefficients de transfert de l’air au sol et à la pluie et de l’air et de la pluie aux végétaux, l’activité en 
iode 131 de ces végétaux devrait atteindre quelques becquerels par kilogramme, voir quelques dizaines 
de Bq/kg.  
Précisons que les particules radioactives déposées  sur les surfaces foliaires sont rapidement 
métabolisées par la plante (phénomène de translocation) et le fait de laver la plante n’est pas efficace. 
Certaines techniques culinaires permettent en revanche d’éliminer une partie de la radioactivité. 
• Le lait et les fromages frais et la viande provenant de troupeaux encore en stabulation ne posent 
évidemment pas problème. Par ailleurs, certains troupeaux sont actuellement conduits dans les 
pâturages mais l’essentiel de leur alimentation est encore apporté par du fourrage ou des grains. Dans
ce cas, l’incidence de l’ingestion d’herbe contaminée reste limitée. Les animaux en pacage peuvent 
brouter l’herbe sur des surfaces étendues et ingérer ainsi les produits radioactifs captés par le couvert 
végétal. Une partie de la contamination est rapidement éliminée mais une partie se fixe dans leurs 
organes, en fonction des caractéristiques métaboliques de chaque radionucléide. L’iode radioactif se 
concentre dans la thyroïde de l’animal mais il est également fixé par les glandes mammaires et transféré 
au lait. On le retrouve également dans la viande mais en moindre concentration.  
• Le facteur de transfert de l’herbe au lait varie fortement selon qu’il s’agit de lait de vache ou de lait de 
chèvre ou de brebis dont la contamination peut être supérieure d’un ordre de grandeur à celle du lait 
de vache.  La radioactivité des fromages dépend de leur mode de fabrication et des délais d’affinage. 


• Dois-je faire attention à mon alimentation ?  
La réponse à cette question est un choix individuel.  
Les risques sont certes très faibles mais si l’on tient  compte de la durée possible de la contamination, de l’existence d’habitudes alimentaires particulières et de la vulnérabilité de certains groupes de populations (enfants, femmes enceints ou allaitant), on n’est plus dans le domaine du risque négligeable et il semble utile d’éviter des comportements à risque.  


La directive Euratom 96/29 définit les principes généraux de radioprotection  en vigueur en Europe. Elle 
indique que l’impact d’une activité nucléaire peut  être considéré comme négligeable si la dose de 
rayonnement qu’elle induit ne dépasse pas 10 µSv/an  Au-delà de cette valeur, il convient de réfléchir aux mesures qu’il est possible de mettre en œuvre pour diminuer les expositions. Dans le cas des retombées radioactives de FUKUSHIMA DAIICHI, il s’agit essentiellement de limiter l’ingestion d’iode 131.  
La quantité d’iode 131 susceptible de délivrer une dose de 10 µSv varie fortement en fonction de l’âge du consommateur.  Les enfants en bas âge (0 – 2 ans) sont les plus vulnérables : l’ingestion d’une  cinquantaine de becquerels d’iode 131 suffit à délivrer à leur organisme une dose de 10 µSv.  Si les aliments à risque (légumes à feuille, laits et fromages frais…) contiennent de l’ordre de 1 à 10 Bq/kg, voire plus, il est tout à fait possible d’imaginer qu’en 2 ou 3 semaines le seuil de référence de 10 µSv/an puisse être dépassé.  
Il est cependant facile de limiter les expositions  à des niveaux négligeables en veillant à ce que ces
aliments ne constituent pas, tout au long du mois d’avril, la base de l’alimentation de la famille. 0n peut 
ainsi préférer le lait « longue conservation » au lait frais, ne pas faire d’excès avec les fromages frais de 
brebis, les blettes, les salades ou les épinards. Ces mesures de bon sens concernent tout particulièrement 
les enfants, les femmes enceintes et les mamans qui allaitent. 


NB : la valeur prise en référence par la CRIIRAD est le seuil du risque «dit « négligeable » soit 10 µSv/an (ou 0,01 mSv/an). Il ne doit pas être confondu avec la limite de dose maximale admissible de 1 mSv/an qui est 100 fois plus élevée. Même en imaginant une alimentation centrée sur les aliments qui concentrent la radioactivité, les niveaux d’exposition en France devraient rester nettement inférieurs à cette valeur. Pour les habitants de la côte ouest des Etats-Unis, la situation est sensiblement différente. 
Pour des explications plus détaillées lire : doses induites par l’ingestion d’iode 131 (accessible à partir de la page sommaire) 


• Combien de temps va durer la contamination ? 
A ce jour, on en peut que donner une durée minimale : d’importantes quantités de produits radioactifs sont rejetées par la centrale nucléaire de FUKUSHIMA DAIICHI depuis le samedi 12 mars. Ce mardi 5 avril, soit 24 jours plus tard, les rejets continuent. Cela signifie que les apports d’air contaminé sur l’Europe dureront tout autant, avec un décalage dans le temps liés au déplacement des gaz et aérosols radioactifs sur quelques 15 000 km.  
La côte ouest des Etats-Unis reçoit 6 à 10 jours avant la France l’impact des rejets radioactifs de la centrale de FUKUSHIMA DAIICHI. Au vu des résultats disponibles, on peut s’attendre, en tout cas sur la prochaine semaine, à des activités en baisse légère mais régulière.  
Les rapports techniques de l’exploitant (TEPCO) et de l’autorité de sûreté nucléaire japonaise (NISA) laissent craindre des rejets sur encore plusieurs jours voire plusieurs semaines. Si de nouveaux incendies surviennent ou si les opérateurs sont à nouveaux contraints de relâcher de la vapeur afin  d’éviter les explosions d’hydrogène, de nouvelles phases de rejets massifs pourraient survenir.  En France, l’impact restera très faible et les mesures de protection relativement faciles à mettre en œuvre. Au Japon, il en va tout autrement.  "



***


Ce soir après une superbe journée estivale, Gégé se maintenait à 0,12μsv/h


Quelle bonheur de pouvoir profiter d'une si belle journée...
22° à l'ombre... din ch'nord, même au mois de Juillet on n'est pas sûrs de voir ça ! Alors quand ça arrive début avril on en profite !!!
Le dicton recommande de ne pas se découvrir d'un fil en avril...
Nous ici, non seulement on se découvre, mais en plus on mange dehors avec un ciel pareil !!!
1er repas de l'année dans le jardin... (2eme si on considère le goûter de dimanche dernier...)
La tonnelle est remontée, j'ai dû remettre le rideau de fil à la porte d'entrée... (Vous savez celui qui empêche les mosquitos de rentrer chez nous et qui nous fait économiser par la même insecticides et antihistaminiques ! lol)... 
Pour résumer :

Le thermomètre au dessus de 20 
+
 la tonnelle
le rideau de fil 
+
le soleil dans le ciel
 Ah y'est chuis en vacances !!! lol
Vivement demain qu'on remette ça !!! 


***



A 13 heures, sous un soleil éclatant, gégé indiquait 0,13μsv/h

Pour ce qui est de ma soirée d'hier soir avec le groupe de Greenpeace...
Ben, forcément avec toute l'actualité, nous avons beaucoup parlé de nucléaire....

Nous avons travaillé à la mise en place de plusieurs actions anti-nucléaires ce mois-ci, dont certaines en parallèle avec "le réseau sortir du nucléaire"... Avril sera donc un mois chargé... Mais pour la bonne cause ! lol

Par ailleurs, j'ai appris que :
• Seuls 31% pays dans le monde produisaient de l'électricité nucléaire !
• La moitié de ces pays sont situés en Europe
• La production d'électricité d'origine nucléaire représente 15% de l'électricité mondiale et seulement 2,5% de l'énergie consommée au final  (si on prend en compte le gaz, l'énergie éolienne, aquatique...)
• Les énergies renouvelables représentent elles, 30%  de l'énergie consommée dans le monde soit 12 fois plus que le nucléaire !!!

J'ai aussi appris qu'on irradiait des aliments vendus sans aucune annotation dans les grandes surface... Et cela va mériter un sacré dossier dans les jours à venir !!!

Dans la série réjouissance, j'ai également appris que la Hague rejetait en un an dans l'atmosphère,  autant de radioactivité qu'un incident nucléaire ! (Zut ! ils ne précisaient pas de combien sur l'échelle de 1 à 7!) Et ce n'est pas tout... Wikipédia confirme même que : "Selon les opposants au nucléaire, l'usine de la Hague est l'une des installations nucléaires les plus polluantes du monde. Greenpeace a par exemple mesuré dans les rejets radioactifs en Manche (230 000 m³ par an) et dans l'atmosphère, des concentrations de krypton 85 de 90 000 Bq/m³, alors que le rayonnement naturel est de 1 à 2 Bq/m³ dans l'air". 


Par ailleurs j'ai aussi eu toute une série de liens intéressants...

• http://www.global-chance.org/
• http://blogs.ina.fr/basse-normandie/2011/03/25/la-hague-et-nucleaire-japonais-30-ans-de-polemiques/
• http://www.youtube.com/watch?v=EYq51n4vaHo
• http://www.youtube.com/watch?v=_NLF3moePdo
Et donc forcément:
http://www.greenpeace.org/france/campagnes/nucleaire 

Voilà un petit peu toutes les infos que j'ai eu...
Note Catherine que le groupe est en train de "réchéflir " à des actions pour Doué ou Doue...




***


Ce matin à 8h20 (Eh le mercredi, c'est ma grasse matinée hebdomadaire,  je dors une heure de plus... grand luxe!!! lol) j'ai relevé 0,12μsv/h. Pas trop mal pour un matin...
Ce midi je vous débrieferai un peu ma réunion chez Greenpeace hier, enfin les nouvelles infos que j'ai pris soin de noter pour vous ! lol...

4 commentaires:

kat77 a dit…

Fofie.... t'es une championne!!!
Merci pour l'info au sujet de Doue!

A part ça... je me sens inutile... et oui!!
Pour rejoindre une antenne locale de Greenpeace comme tu l'as dit, je dois rejoindre Paris... à peu près 1H30 de trajet pour un allé... et je dois me rendre à l'évidence que je ne peux pas...
Je ne peux pas laisser mon petit, je ne peux pas quitter la maison le soir... enfin, c'est comme ça pour l'instant.
Mon mari rentre tard du magasin...
J'ai comme qui dirait les boules, et ça m'a empêché de dormir hier soir...
Me dire que je ne fais rien m'est insuportable.
C'est comme montrer un magnifique nonos à un chien et lui dire de ne pas toucher...

Alors je cherche même une petite asso dans la région de Meaux, une petite asso qui peut être sera en relation avec Greenpeace... pas trouvé pour l'instant...
C'était Kat, la frustrée du jour...
Bonne journée tout le monde!!!

Anonyme a dit…

coucou Fofie,

Magnifique le magnolia...
Aujourd'hui chez nous dans le sud il faisait 25°, et j'aurai bien voulu faire du jardinage, mais j'ai pas arreté de courrir, enfin il prévoit du beau temps jusqu'a samedi, demain je repeind mes fenetres, Casto faisait 25% sur la peinture bio, le rêve...
Je vais rejoindre greenpeace perpignan, la réunion est fin avril, car il y a un bon bout de temps que je ne dis qu'il faut arreter de raler, il faut aussi agir, donc je suis super motivée.
Je vous souhaite une bonne soirée
Marilou

Fofie a dit…

Contente pour toi Marilou !
J'espère que le groupe Local de Perpignan bougera autant que le nôtre ! En tous cas, je suis certaine que tu y feras de belles rencontres !

Ahhh Perpignan.... (Collioure.... Argelès...Saint-Cyprien... Comme c'est beau par chez toi...)

A bientôt

kat77 a dit…

Super boulot... Merci pour tous ces renseignements!
Il est seulement 22h et c'et plutôt rare, mais je suis KO...d'ailleurs je relirai cet article demain pour être certaine de ne rien avoir loupé...
A demain!!!